Et le feu descendit du ciel et les détruit ! [libre]

Ayant enjambé une cage d'escalier miteuse, Azaroth se retrouva sur le toit peut de temps après...De la il pouvait comtempler la Nécropole entière ! Libérant des crie de joie, les hotes de ce qui resemblait a un immeuble ou un hotel, devait surement deja s'affoler ! Mais l'homme n'en avait que faire. S'asseyant sur un rebord, il mit les pieds dans le vide, les balançant frénétiquement comme un enfant qui attend quelque chose...Siflant l'air de "Prend pitié Seigneur", Azaroth était plus que partout au monde dans son éléments ! Mais l'homme a peine arrivait commençait deja a s'ennuyer...

"Oh ! Des...Rats !"

Se retournant lentements, une colonie de rat plus qu'énormes avait élu domicile dans le piegonnier abandonné du toit...Azaroth se retourna et partit a l'opposé, l'air joyeux...Il se posa sur le sol qui était un peu surélevée et sortit a nouveaux son fusil...Comme il l'avait fait a la gare peut de temps avant ! Visant a taton dans la semi obscurité, seul la lune l'éclairait ! Prenant tout d'un coup un regard noir, froncant les sourcils il dit d'une voie d'outre tombe...

"...Et le feu descendit du ciel et les détruit !"

A peine avait t'il finit sa phrase d'une cartouche partit et tua un rat sur le coup, recommancant son actions, le toit fut bientot remplit de douille vide et de rats mort qui gisait agonisant, alors qu'un homme complètement fou tirer encore sur les dépouilles de ceux ci ! Azaroth n'était pas difficile, même tuer des rats l'amusait ! Stoppant ses tirs, il se mit a genoux, posant son fusil sur son coté droit, il leva les main au ciel, presque comiquement mais il était très sérieux et dit d'une voie lente...

"Pardonne les Seigneurs ! Car il ne savait pas ! Amen..."

Après avoir annéentit les rats, Azaroth pria pour eux...Geste commun car l'homme conféssé toute les personnes après les avoirs tuées....Mais il semblait que quelqu'un approchait...L'homme rangea son fusil, gardant en main une croix bénite, lorsque qu'il put discener une ombre qui approchait...

Otis vadrouillait dans la Nécropole, comme un rat dans un égout. Il marchait, puis prenait une autre ruelle, continuait tout droit, puis en prenait une autre, le tout, en chutant parfois dans quelques cannettes de boisson gazeuse vides ou, en crachant sur les clochards complétement ivres, couchés dans les ordures, chantant de leurs voix pouacres, de vieilles chansons de leurs ancêtres pouacres. Mais c'est alors qu'il marchait tranquillement dans une ruelle, qu'il entendit des coups de feu. En temps normal, cela ne lui aurait rien fait, mais les tirs venaient du haut d'un immeuble. Quel idiot pouvait gaspiller ses balles sur les toits de la Nécropole ? Otis s'en fichait, mais après tout, il s'ennuyait en ville, un petit meurtre allait probablement le divertir. Alors il monta après une de ces cages d'escaliers branlantes en métal, et monta jusqu'en haut du bâtiment. Entre temps, il sortir son doudou : le Beretta 9mm.

Une ombre oui, mais une ombre qu'Azaroth aurait mieux fait de ne jamais rencontrer. Peut-être celui qui va le transformer en rescapé de Tchernobyl, ou tout simplement en cadavre fumant troué par des dizaines de balles. Lorsqu'Otis débarqua sur le toit, la première chose qu'il vit fûrent les rats morts, en quasi-charpie, déchiquetés par des balles. Le sang giclait encore de certaines artères perforées et non en morceaux. Un petit sourire d'amusement se dessina sur la barbe d'Otis. D'ailleurs, otis avait l'air d'un père Noël ambulant, barbe, bonnet de Noël probablement volé à quelqu'un. Il n'avait pas l'air dangereux à première vue, mais seulement à première vue. Alors, il releva la tête, et là, à l'autre bout de l'immeuble, il vit un homme. Otis ne put s'empêcher de lui dire :

"Eh, c'est toi le connard qui trouve rien de mieux à faire que de tirer sur des vermines ?"

Lentement, il leva son beretta vers l'homme, visant son crâne, il rajouta ensuite :

"Bon fini de rigoler, passe moi tes objets de valeur morveux si tu veux pas que ta tête soit un troufion ambulant."

**Muahahaha quelqu'un !!!**

Jubilant comme pas possible, quelqu'un était arrivé, réaction plus que bizarre de la par d'Azaroth, il ne le conaissait pas mais il l'aimait deja ! Il aimait se faire insulter, il aimait qu'on lui donne des ordres, mais il n'aimait pas que cela vienne de quelqu'un d'autre que cette homme ! Mais pourquoi ? Son bonnet de père noel surement agissez sur le mental de l'homme ! Il se leva, faisant tombé sa croix et son fusil a terre et il leva les bras au ciel en criant !

"OUI !! C'est moi qui crève les rats !! J'aime pas les rats !!! Tu veus en crever ? Tu veus ME crever ?"

Dit Azaroth plein de...Joie ! Il se remit a genoux sans attendre de réponse. Saisissant son fusil, il vida les cartouche et le lança le plus loin possible vers l'homme, et les cartouches suivèrent de pret le fusil. Tout content, Azaroth ajouta très vite d'une voie heureuse....

"Voula pour toi ! Et que Dieux te bénisse mon enfant ! Maintenant en crève encore de la vermines ??"

Dit t'il avec une la même voie qu'un enfant qui attendrait d'ouvrir un cadeaux sous le sapin. Azaroth pouvait changé de comportement aussi vite que la brise du vent, et peut etre que bientot il voudrait tuer cette homme, mais cela serait trop tard...Il n'avait plus de fusil, seul rester dans sa main sa croix bénite !

L'homme en face d'Otis était tout simplement givré. Il ne fallait pas chercher plus loin. Avoir un fusil et ne pas le pointer sur son adversaire instinctivement était un signe de folie. Mais Otis lui, n'était pas fou, et c'est pour cela qu'il ne tarda pas à ramasser l'arme de l'étranger. Mais ce n'est pas pour autant qu'il ne baissa pas la garde. Il fit quelques pas en avant, approximativement trois ou quatre, puis il vit le crucifix dans la main de sa proie. S'en suivit les paroles "Que Dieu te bénisse". Une parole qu'il n'aurait jamais dut prononcer. Et c'est ainsi qu'Otis, dit d'un ton plus froid et plus hostile :

"J'ai une gueule à me mettre à genoux devant le connard qui me sert de père éternel ? Rien que pour c'que tu viens de dire j'devrais te faire exploser ton crâne..."

Visant toujours la tête du fou, il lui fit signe de se mettre à genoux tout en continuant de lui parler :

"Ecoutes moi bien. Je veux que tu prie ton Dieu pour qu'il te sauves. Je veux voir les nuages s'écarter sous tes paroles. Je veux que les éclairs viennent faire exploser ma putain d'tête !!!"

Pourquoi demandait-il ceci ? Seul Otis le savait. Mais il y avait probablement une raison. Ou alors, il souhaitait simplement rire des quelques prières que l'homme allait dire, enfin, si il allait les dire. Dans la cas contraire il mourrait...

"Quoi ? Tu n'aime pas le saint père....Boua faut pas le dire...Mais parfois aussi il me gonfle !"

Azaroth lacha un gris strident avant de de se remettre debout...Il voulait une prière ? Azaroth ne put que lui accorder, levant les mains au ciel, il commença a marmonner quelque mots inaudible qui ne voulait rien dire du tout...Enfin, il remit les bras normalement et commençaa sifloter avant d'enlever le haut de sa robe de prêtre...Il dévoila a la lueur de la lune son corps plein de cicatrice et de scarification...Prenant sa croix bénite, il enleva un petit bout du haut qui dévoila une petite pointe...Serant les dents et riant silencieusement, mais d'un rire toujours aussi strident, Azaroth se traça une croix sur le buste avec la lame de sa croix, faisant apparaitre de fin trait sanglant...L'homme lacha un cri strident avant d'énoncer sa prière...Il pria une énorme inspiration et dit

"Voila ta prière si gentillement demandé...."

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"...Du fond de la détresse,

Je t'appelle au secours, Seigneur.

Écoute MON appel,

sois attentif quand je te supplie.

Si tu voulais épier nos fautes,

SEIGNEUR, qui pourrait survivre ?

Mais c'est toi qui disposes du pardon,

c'est pourquoi tu dois êtres respecté !

De toute mon âme,

je compte sur le Seigneur,

et j'attends ce qu'il va dire.

Je compte sur LE Seigneur

plus qu'un soldat de garde

n'attend le matin;

OUI, plus qu'un soldat de garde

n'attend le matin !..."

Il finit la dernière phrase a toute vitesse avant de reprendre sa respiration et d'étaler le sang qui coulair a fine goute sur son corps, il conclua...

"Psaumes 130...."

Il fit quelque pas en arrière avant de finir sur son derrière épuisé par le sang qui avait coulé et par sa respiration...Il lança un regard neutre a l'homme a l'arme braqué sur lui...Il allait surement mourir...Dommage...

"Voila....Ouf...Je vais mourir ?"

Ajouta t'il avec une voie un peu tremblotante...

"Oh la jolie prière...Mais je ne vois aucuns éclairs, ni anges soufflant dans des trompettes...Que fais ton Dieu ?"

Otis commença à rire de l'homme, presque affolé devant la mort. Un croyant ayant peur de mourrir ? Mais pourquoi donc ? Il se retrouverai prêt de son Dieu chéri après tout...

"Pourquoi tu flippes ? Si tu meurs tu iras là-haut, avec 'Je-suce' et ses copains les tafioles aux ailes blanches ! Sans compter le grand pervers à longue barbe blanche qui leur sert de créateur ! Ca te plairait pas tout ça ?"

Mais tout devenait légèrement trop long, alors, pour étancher sa soif de violence, Otis tira, mais il ne tua pas de suite l'homme, il se contenta de lui tirer dans la main droite. Autrefois, la droite représentait le côté de Dieu, alors que la gauche, celle du Diable. Son geste n'était donc pas du pur hasard...Puis, il se dit qu'il pouvait faire quelque chose de bien plus amusant à l'homme. Il lui dit :

"Je vois...Tu ne veux pas mourrir maintenant hein ? Je comprend...Alors je veux bien te laisser une chance. Mais à une seule condition : Tu devras pisser sur ton crucifix, et ensuite tu le brûleras..."

Décidément, Otis avait de drôles d'envies, mais cela semblait l'amuser, alors il ordonnait au fou les premières choses qui lui passaient par la tête...

Tous s'était passez trop vite, Azaroth avait eu la main droite troué sans même s'en rendre compte ! Il lacha un autre cri strident, mais c'était a la limite du crie de plaisir et non pas de douleur, il aimait avoir mal en un certain sens...L'homme en face de lui représentait a la fois une menace mais aussi un homme bon ! Bon ? Mais pourquoi, azaroth ne le savait pas il aimait ses manières même si de son coté il était un grand adorateur de Dieux...Bien que dans l'état ou il était, le mal et le bien ne se différenciait pas ! Prenant même souvent le diable pour le bien et dieux pour le mal ! Enfin, surement que s'il survivait, il se repentirait plus tards par divers torture physique qu'il s'inglirerais lui même...

"Aaaah ! Ma main ! Troué comme celle du jésus !! Bientot l'autre !!!"

Encore une phrase qu'il dit sans réfléchir, Azaroth suca le sang qui coulait de sa main pour épongé un minimun ! Il posa sa croix a terre et commença a uriner dessus, sans aucune pudeur, bien qu'il était assez difficile de visé avec une main trouée ! Mais quand vint le moment de la bruler...Un problème s'annoncer, le crucifix était en fer forgée, béni par ses soins ! Il le releva de sa main gauche et commeça a tapper sur des briques pour l'ammocher a maximun, mais rien n'y faire, il n'avait d'ailleur par de briquet !

"Rhaa ! Je peus pas le bruler !!! J'ai pas de flamme merde ! Je peus le lancer du haut du toit ?"

"Tu peux pas le brûler..."

Sous sa barbe, un affreux rictus à la fois satisfait et enragé se dessina. Il observa son Beretta qu'il avait en main, avant de regarder l'homme. Il n'était pas très net. Mais bon, ceci n'était pas très grave...C'était surtout qu'il était prêt à brûler un crucifix pour sauver sa peau alors qu'il se prétendait pour un homme de Dieu. Sacré numéro hein ? Pour Otis, c'était du foutage de gueule, qu'il exprima comme ceci :

"T'es un sacré enfoiré toi. T'es prêt à envoyer chier ton Dieu pour sauver ta peau ! T'es pas sensé le rejoindre une fois mort ?..."

Otis se rapprocha du fou de quelques pas tout en continuant à le viser dans le crâne. Il jeta un coup d'oeil au crucifix couvert de pisse. Encore une fois, il eu un sourire. Cette fois, le tueur était bien décidé à en finir avec ce déchet :

"Bon gros con, fais tes prières avant que j'te colle une balle dans l'front."

Au fil du temps qui s'était écoulé, la crise de folie d'Azaroth s'était stoper et il était redevenue a moitié normal...Se souvenant de sa blessure et de tout ceux qu'il avait fait, il regarda l'homme en face de lui qui pointé une arme sur son front...Allait t'il mourir surement...Lui lançant un regard noir, Azaroth était a genoux la main troué et il laissa tomber le crucifix remplit d'urine au sol avant d'allonger les bras contre ses cotes...Il prit une voie d'outretombe pouvant appeurer quiconque l'entendait....

"Eh bien qu'attend tue....Tue moi...Je serais mieux la en haut de toute façon...Mais avant j'aimerais savoir qu'elle plaisir cela t'apporterait t'il hein ? Dit moi...Tu en serais content pendant quelque minute mais apres ? Tu continurais irai tuer quelqu'un d'autre hein...Mhh je comprend eh bien soit...Amen ! "

Se préparant a recevoir la balle dans la tête, Azaroth ferma les yeux étendant les bras en croix murmurant quelque paroles inaudibles...Surement des prières mais a quoi bon lui serverait t'il ?

[Dsl pour les fautes mais bon je suis un peu énervé donc je fais pas trop gaffe et la flemme de corriger..]

"T'as tout compris on dirait mon gars. J'vais te buter, pis aller buter un autre clampin dans ton genre...La chasse à l'homme c'est tellement drôle. ils courent tous comme des lapins, croyant qu'ils pourront s'en sortir...Mais on échappe pas à Otis. Si tu vas en enfer, tu passeras le bonjour à Satan d'ma part !"

Un bref sourire sous sa barbe, un dernier regard moqueur mais tout à fait indifférent, et Otis crispa son doigt sur la détente, laissant résonner du haut de l'immeuble le bruit de l'explosion du canon. La balle fila dans le crâne du fou, faisant gicler un jeser de sang de son front. Le corps tomba au sol sans vie dans un bruit sourd et morbide. Au sol, on aurait dit une fontaine d'hémoglobine. Mais tout ceci ne fit rien à notre cher Otis, habitué à voir des cadavres et à tuer. Il rangea son arme dans son étui accroché à sa ceinture avant de se frotter les mains en regardant le cadavre. Il ne put s'empêcher de secouer la tête de droite à gauche en lancant :

"Ah. Et ça veut jouer les héros...Même pas foutu d'essayer d'me buter. Il est bien ou il est va. Et au moins, j'ai eu son fusil."

Otis se retourna et se dirigea vers l'escalier qu'il avait emprunté pour monter sur le toit.

*Bon, maintenant, essayons de trouver une piaule en guise de refuge...*

L'homme réajusta son bonnet de Noël avant de descendre les escaliers.
Et surtout, Joyeux Noël !