Mystérieuse attente...

Alors que Lestat venait directement du bar de l'apocalypse, il arriva au lac, où il scruta les alentours afin d'observer la gent humaine proliférante. Il observait tour à tour les personnes présentes, de la plus charmante personne entourée de dizaines d'autres de sexe opposé, ou bien de la plus laide créature que la vie a donnée. Une humaine particulièrement attirait son attention. Bien loin d'être jolie, et d'être mince par la même occasion, elle pleurait à chaudes larmes, comme pour attendre le dessèchement de la peau. Cette femme avançait lentement, la tête enfoncée dans les mains, ne se souciant guère de ce qui se passait aux alentours. D'une manière ou bien d'une autre, cette femme pleurnicharde attirait Lestat. Il regarda une dernière fois les gens dans le parc puis se dirigea vers la femme mais dans l'obscurité, l'envie de "jouer" ainsi que la soif commençait à se faire sentir alors que l'homme mystérieux se faisait attendre...

Arrivée aux cotés de cette femme, elle qui n'avait rien entendu du tout malgré la branche qui avait craqué, il lui dit d'une voix absolument neutre et dépourvue de sentiment : "Pourquoi tant de chagrin pour une histoire sans intérêt ?" bien qu'il ne savait rien de son passé mais il en avait des doutes ou plutôt des soupçons. Celle-ci tenta de lui répondre furieusement mais elle était trop triste pour s'énerver et finit par dire : "Qu'est-ce que tu sais de ma vie amou... de ma vie, hein !?" puis retomba en larmes à un point si élevé qu'elle aurait pu faire déborder le lac lui-même. Il la regarda pour tenter de voir ses yeux mais rien ne perçait ses mains. Il tenta alors de la réconforter par des paroles sincères : "Mais il y une place pour tout le monde au sein du monde. D'ailleurs je sais même à quelle catégorie de personne tu appartient et où tu vas bientôt aller..." et à ces mots la femme lui réplique furieusement juste avant de retomber en pleurs : "Ah oui !? Et que suis-je et où vais-je aller Monsieur je-sais-tout !?" Puis Lestat lui souffla dans l'oreille : "Tu es de ceux qui ne servent plus à rien pour avoir été tenté par ces absurdités qu'est l'amour et les sentiments affectifs. Pour cette raison tu vas rejoindre là où on t'attend, à savoir... L'ENFER !!!

Et à ces mots elle voulut crier mais Lestat profitant de sa vitesse acquise lors de sa transformation la prit de vitesse une main sur la bouche et l'autre arrachant sa veste avant de l'emmener derrière un buisson. Pendant une fraction de seconde il lâcha la femme, la bâillonna avec la veste, ce qui lui fit gémir uniquement de douleur, et fit un noeud qu'un humain ne pouvait pas détacher de ses propres mains et qui plus est derrière sa tête. D'un coup aussi bref que l'éclair, il arracha le reste des vêtements de la femme et effectivement il y avait de quoi être repoussé de la tête au pied. L'action se fit si vite qu'elle ne réagit que quelques secondes après lorsqu'un coup de vent souffla fortement. Elle était horrifiée, voulut fuir mais était vite rattrapée par Lestat qui la regardait toujours aussi fixement droit dans les yeux. Voyant que le mystérieux homme n'arrivait toujours pas, il allait donc commencer à jouer. Il commença par lui mordre la chair tendre de son cou et à aspirer la vie mais s'arrêta pour que sa soif puisse être repoussée et que l'humaine ne tombe pas dans les vapes trop vite. Puis il lui attrapa un morceau de gras et dit : "C'est ça la cause du problême ? Et bien on va régler ça... ha ha ha ha ha" puis il empoigna sa dague, et commença à couper la chair directement sans anesthésie, la fille tenta de se lancer dans toutes les direction mais Lestat la retenait à chaque fois. Il voulut prendre son temps mais la femme commençait déjà à s'évanouir. Dommage pour Lestat qui finit le travail sur la femme évanouie. Mais le corps était arraché de partout et impossible pour Lestat d'y graver sa marque. Il ne restait que la tête et c'était la seule solution qui lui restait alors il lui grava la faux sur le front, contournant l'oeil gauche. Il essuya le sang de la lame avec le baillon du côté non humide avant de revenir près du lac où il allait avoir affaire avec un homme inconnu.

Victorio arriva 15 minutes plus tard à l'endroit où son mystérieux employeur l'attendait. Le conducteur lui avait expliqué le fonctionnement du téléphone et l'avait ensuite déposé dans cette étrange place publique.

En vérité, tout autour de lui était étrange...

L'accoutrement des gens, le comportement des gens... l'ambiance générale...

En entrant dans la cité, il avait été estomaquer par l'absurde architecture. Des maisons qui se ressemblait toutes, des tours non pas en pierre mais en verre et toujours cette mystérieuse pierre noire qui recouvrait les routes!

Il comptait bien en savoir plus sur ce monde une fois qu'il aurait trouvé son commanditaire...




Victor s'avança sur la place, conscient que tous les regards c'étaient soudainement posé sur ses vêtements disont, assez voyant pour l'époque. Les gens le dévisageaient avec mépris ou incompréhension, certains riant même dans leur barbe. Il détestait déjà ce monde, avec toutes ces petites gens irrespectueuses et... laides et... et... bizarres...

Il décida de ne plus porter attention à la foule autour de lui, ce concentrant afin de trouver la personne à qui il fallait qu'il s'adresse...

Lestat venait tout juste d'apercevoir une personne qui attira une énorme partie de son attention. A moins qu'il y avait une sorte de bal dont le thème est les années qui suivent la révolution industrielle, une sorte de clown venait dé débarquer tout frais, tout étranger et tout intimidé par les regards moqueurs de la gent humaine. Une idée fulgurante lui traversa l'esprit : *J'espère que ce n'est pas ce pecno la personne qui je suis sensé attendre ! Dans ce cas là, ce n'est plus un entretien qu'il y allait avoir à faire, mais toute une éducation. Quoique ce n'est pas une mauvaise idée ça...*

Il continua alors de fixer l'homme si étrange. Après tout, les deux hommes ne se connasaient nullement malgré qu'ils doivent se rencontrer. Et en sortant le téléphone cellulaire de sa poche, Lestat se rendit compte qu'il y avait déjà une sonnerie, il ne l'avait pas entendue, trop attentif à l'homme d'une autre époque. Il décrocha alors et dit d'une voix neutre et en fixant tellement Victor que si celui-ci le regardait fixement, il pourrait croire que Lestat parle de lui au téléphone :

"Ouai c'est pour quoi ? J'aimerais bien des informations concernant l'homme que je suis sensé rencontrer." Mais il ne souffla aucun mot à propos de l'homme qu'il continuait d'observer car ce n'est pas dans son genre de parler des autres ainsi.

Victor fit un tour rapide du parc de son regard froid et calculateur. Il se sentit soudain plus en confiance, ressentant l'assurance qui avait fait de lui un tueur parfait à son époque. Il analysa chaques mouvements de chaques personnes autour de lui. Puis il ferma les yeux, afin de localiser chaques êtres dans son environnement immédiat.

Sa vision aveugle lui permit de déceller la présence d'un être différent, situé à une vingtaine de mètres à sa droite, un être calme et en pleine possession de ses moyen. Mais, étrangement, cet être semblait appartenir en même temps à aujourd'hui et à hier... au présent et au passé...


Comme lui...


Il ouvrit les yeux et son regard intrigué croisa longuement celui de Lestat...

Alors que l'homme au téléphone se faisait attendre, un bruit de papier se faisait entendre à l'autre bout de la ligne. Sans doute son interlocuteur recherchait-il une feuille où tout concernait le mystérieux associé qu'il devait voir. Il prêta une oreille bien moins attentive aux bruissements perçus à travers le télephone mais il ne raccrocahait pas, cela pourrait nuire à sa couverture, bien qu'elle ne soit pas au point, Lestat fixant l'homme en face. Celui-ci le regarda longuement, l'air intrigué, et c'était étrangement depuis qu'il avait rouvert les yeux. Curieuse particularité à éclaircir. Mais Lestat était préoccupé par un autre problème, comment réagir face à un homme qui vous fixe ? Lestat hésitait entre tenter d'éliminer, sans forcément vouloir le tuer, la silhouette qui se démarquait des autres par son accoutrement ridicule. Ou bien fallait-il se rendre à l'évidence que des traces de sang parcouraient la robe noire de Lestat. Mais ce détail ne serait visible que par un immortel et un humain standard n'aurait rien vu, surtout dans la nuit. Difficile d'affirmer l'une ou l'autre de ces deux intentions, car personne ne peut juger une autre par ce qu'elle semble être. De plus, il est très étrange pour une personne de cette époque, de se ballader ainsi vêtu. Cette caractéristique plutôt flagrante le faisait passer soit pour un attardé, soit pour un fou, soit pour une personne dont les idées profondes pourraient être bien noires. C'est bien cette idée là qui attirait Lestat jusqu'à le pousser à s'approcher de l'individu aussi mystérieux que l'est la mort aux humains. Il avança d'un pas sûr, passa proche de cet homme et venant tout juste de le dépaser, il lui dit à voix assez haute :

"Êtes-vous conscient des regards posés sur vous ? A votre place, j'éviterais de me montrer ainsi en public, les journaux sont fulgurants, ainsi que les préjugés et les critiques. N'aimez-vous pas l'obscurité profonde de la nuit ? A mes yeux rien ne l'égale. Seule l'étrangeté des ténèbres offre un spectacle aussi attirant."

Lestat recala le télephone sur son oreille, veillant minutieusement au premier des deux hommes qui lui parlerait.

(HJ: je croit que l'homme au téléphone ne sais pas qu'il a un appel... lol!)

Victor vit l'homme s'approcher de lui. Il le savait bien, c'était cet homme-là qu'il était venu rencontrer.

Lorsqu'il le dépassa, Victor, supris, se dit que ses don devait l'avoir lâché. Mais il ravisa ses pensés lorsque l'inconnu lui parla...

"Les ténèbres, très cher, je les aime et les chérie de tout mon coeur, lui répondit Victorio. Mais je viens de passer plus de 150 années loin de l'astre solaire, au plus creux des entrailles de la Terre, au plus profond de mon âme damnée... Maintenant, j'ai besoin que l'on m'éclaire sur la vie d'aujourd'hui... pour le moment j'ai plus besoin de la clarté que des ténèbres..."

Il se retourna pour faire face à l'homme qui parlait avec la petite boîte nommée téléphone...

HJ ...........................; La prochaine fois que j'appelle quelqu'un je pourrai nêtre au courant ....

La voie au téléphone ce fit entendre de nouveau... Cette voie impersonnel que les 2 vampires avait dejà entendu ....

"Bonjour... Ou plutot bonsoir monsieur... L'homme que vous avez demandez doit être arrivé... Je vais vous le décrire afin que vous puissiez l'identifiez : il à l’air d’un très beau jeune homme d’une vingtaine d’années aux traits anciens. Un nez fin, tranché au couteau; des joues creuses et lisses et de magnifiques lèvres rouges. Mais un teint pâle, des canines supérieures proéminentes et des yeux malades qui finissent d’achever le peu de confiance que vous aviez mis en lui au premier regard. Ses yeux sont tels deux points noirs dans une mer d’une blanche pureté. Ses iris ayant disparut, ou presque, les deux yeux de Victor ne sont que des pupille sans couleur, entouré, peut-être, d’une légère aura grise, comme le fantôme des magnifique yeux vert qu’il a déjà eu…
Il porte les mêmes vêtements qu’il portait il y a 150 ans : pantalon de lin noir fin, chemise bouffante style pirate rouge sang et une redingote noire, le tout dans un lamentable état, vu les 150 années passées sous la terre…"

Après cette longue tirade la voie se tue.... Puis :
"Voila cela devrait vous suffir... Si vous avez des besoin nésité pas :appelez moi..."

Lestat écouta le moindre mot qu'avait prononcé l'homme au bout du fil, en accumulant les infos sur ce mystérieux individu qu'il devait rencontrer. Or la description faite correspondait à celle de l'homme avec qui Lestat était en train de parler. La voix avait mentionné un nom : Victor. Lestat raccrocha le téléphone qu'il fourra dans sa poche comme un vulgaire objet sans valeur mais toutefois important. La première réaction qui lui vint fut de demander son nom au mystérieux homme semblant venu d'il y a... 150 ans, quelle coïncidence. Il se retourna alors pour faire face à l'homme pour lui demander d'un ton aussi neutre que pourrait être celui d'un inconnu au téléphone :

"Je me permet de vous demander votre nom. Daignez-vous me le donner ou est-ce un secret que vous comptez garder ?"

Il scruta une deuxième l'homme avant de remarquer précisément que celui-ci ressemblait trait pour trait à la précédente description. Bien qu'il y ait un certain doute de la part de Lestat, il était presque sûr qu'il paralait à la bonne personne. Il attendit donc patiemment la bonne réponse.

"Mon nom est Juan Victorio Darklenn DonHalen, mais les gens de mon époque m'apellait Victor." répondit avec une touche d'irritation le vampire.

Il se mit lui aussi à scruter l'individu qui se tenait maintenant devant lui. Il le regarda de haut en bas, analysant chaque pièce de vêtements de l'inconnu. Aucun doute, c'était bien là un vampire, un des siens. Mais il remarqua une certaine irrégularité au niveau de ses vêtements. Une bosse sur son côté...

*Il cache une arme, c'est évident...*

Il regarda l'homme et lui dit avec sévérité:

"Certe, je me suis présenté. Maintenant, veuillez bien daigner vous présenter et me dire ce que signifie cet arme dissimulée sous votre manteau."

L'homme qui était en face était donc bel et bien celui avec qui il devait parler, celui qui lui poserai une question et à laquelle il devait répondre du mieux qu'il peut. Ce détail venait tout juste de lui revenir. Et Victor venait de poser une question - était-ce cette question à laquelle il devait répondre ? Mais Lestat se contenta de répondre toujours d'une voix sans aucun sentiment quelconque, même pas une trace :

"Mon nom... vous n'avez pas besoin de le savoir. Or je peux vous donnez mon surnom à savoir Le Faucheur. De ce surnom je pense que vous savez ce qu'il y a derrière mon dos, non ? Je ne tiens pas à trop vous faire la preuve de ce que j'avance, étant donné que les regards sont braqués sur nous, ce serait fort dommage de devoir annihiler autant de sources de jouvence n'est-ce pas ?"

Puis il patienta afin que l'homme pose a véritable question, si tant est qu'il y en ait réellement une.

Victor regarda le vampire en face de lui avec un certain mépris. Il détestait les petits arrogant... Il lui dit tout de même, en faisant un pas dans sa direction de manière à être le plus près possible de son visage:

"Très bien! Si vous y tenez! Mais... prenez garde à vos arrière..."

Victorio recula lentement. Puis il ajouta:

"Il paraitrait que vous avez un travail pour moi. J'aimerai bien vous aider mais... le monde d'ici me paraît très flou et imcompréhensible... Sauriez-vous m'éclairer?..."

Le langage parlé par Lestat sembalit de pas avoir atteint Victor dans les termes voulus. Aussi dut-il éclaircir ce point, afin que son interlocuteur puisse le comprendre. Il reprit donc la parole :

"Je crains que vous ne m'ayez pas compris. Je ne souhaite pas éliminer toute la gent humaine présente ici, bien au contraire. Imaginez si tous les vampires agissaient ainsi. Il y aurait bien moins de réserves vitales pour nous, en aucun cas cela ne doit se produire.
De plus, vous me parlez de travail. Or on m'a affirmé que vous me poseriez une question à laquelle je devais répondre le plus intéligemment possible. Serait-ce une mauvaise blague ? Dans ce cas je ne paye pas cher de la peau de l'homme qui m'a forcé à faire cette tâche."

Puis il aperçut que le vampire avec lui commençait à devenir très pâle, cela devait faire longtemps qu'il ne s'était pas nourri. Or les restes de la grosse femme ne lui avait permis que de pouvoir résister le temps de la conversation. Il n'avait pas réellement la nécessité de se nourrir, c'était juste l'envie de boire qui l'emportait cette fois. Il posa une question donc à l'homme qui allait sans dire :

"N'avez-vous pas faim ?"

Puis il se retourna, bien que méfiant envers l'homme, pour observer fixement les humains, simples mortels, afin de choisir sa cible potentielle.

"Je vous ai déjà posé ma question. Deux fois même. Mais je vais vous la répéter une troisième et dernière fois... JE VEUX COMPRENDRE QU'EST-CE QU'IL EST ADVENU AU MONDE DURANT LES 150 DERNIÈRES ANNÉES!!!"

La colère ayant envahi Victor, il avait crier la dernière phrase un peu trop fort. Les regards se tournèrent aussitôt vers les deux vampires...

Victor se retourna, regarda la foule et cracha:

"Qu'est-ce que vous regardé???"

Puis il se calma et s'excusa à Lestat:

"Je suis désolé, je suis épuisé et à bout de nerf... j'aurai vraiment besoin de me nourrir..."

Lestat regarda Victor d'un air mauvais, il avait attiré l'attention de la foule alors que la nature même d'un vampire consiste à être discret. Du moins, c'était l'interprétation qu'en avait fait Lestat. De plus, attiser la colère de Victor lui plaisait, et bien qu'elle ait attiré les regards étrangers, elle pourrait lui servir plus tard. Il réfléchit un moment donc pour tenter de rétablir un ordre chronologique dans ses pensées. Cela dit, il n'en avait nullement l'envie profonde et il se contenta de répondre à Victor qui perdait patience :

"Et bien durant 150 ans, peut-être trop de choses. La ville est devenue foncièrement mauvaise, alors qu'à l'origine c'était une bien belle et paisible ville. Mais il semble que les sept péchés de la bible se soient réunis dans cette ville. La population devient vicieuse, agressive, orgueilleuse, etc. De plus, cela va de mal en pis avec les nouvelles technologies de maintenant. Le téléphone portable, comme tu as pu le constater, les voitures qui vont de plus en plus vite, des moyens de transport aérien, impossible penses-tu ? Et bien si, c'est le cas. Il y a également la télévision qui permet de reproduire des images réelles sur un écran. Ainsi qu'un tas d'autres innovations techniques dont la liste serait bien trop longue."

Il se mit alors à se demander s'il serait possible de lui faire rattraper 150 ans en peu de temps car après tout, si Victor devait travailler avec lui ou sous sa tutelle, cela va sans dire qu'il faut tout lui enseigner assez rapidement. Il serait presque seul si Lestat ne comptait pas en faire un type d'homme précis. Victor avait faim, ou soif, tout comme Lestat, il fallait donc se trouver un fastueux repas. Mais avant de partir chasser, Lestat fit une remarque à Victor :

"Au fait, je ne chasse que les criminels, se nourrir de leur passé de pécheur, chose exquise qu'on ne retrouve pas chez les innocents. Cela ne signifie pas que seuls les criminels m'intérerssent, mais les innocents ne me sont bons qu'en cas d'extrême nécessité, rien d'autre. Sur ce aalons chasser..."

Lestat prit ensuite la direction du quartier portuaire, ne se souciant pas si Victor le suivrait ou non.