Le nouveau bar-tabac : le bar de l'apocalypse

Hj merchi beaucoup...

Ben on attend aussi la réaction de Kenji tout simple aprceque sinon, plus d'ennemi à par le vieux et ...valà ^^

[HJ] Puisque il ne se passe rien du tout depuis déjà un bon bout de temps, je propose que les ardeurs violentes de tous ces gens soient calmées... Excuse moi Bangara mais je vais faire jouer un peu Henry... mais légèrement. [/HJ]

Lestat qui aimait le combat plus que tout au monde, quoique, fut très dégoûté du spectacle qui venait tout juste de prendre une autre tournure. Alors qu'il s'attendait à une bagarre amusante qui lui aurait permis d'analyser les mouvements de ces personnes - bien qu'avec des armes à feu il n'y en ait peu - afin de ne pas se faire avoir au cas où une prochaine bataille éclaterai où il y serait directement mêlé. Alors il se remit droit sur ses jambes prêt à partir mais une main apparut sur le rebord du bar, ce qui l'intriguait énormément. Il crut d'abord avoir affaire à un objet décoratif qui aurait pu avoir été caché pour éviter tout choc ou quelconque éraflure. Mais la main semblait se cramponner au bar et une forme allongée de dessina derrière, c'était un bras. Le barman se releva et appuya ses deux mains sur le bar pour se retenir de la chute due à la balle dans la jambe qui s'était bien enfoncée comme un bille de pistolet dans la terre mais en y ajoutant la souffrance, chose exquise de quoi Lestat aime profiter. De ses yeux perçants il aperçut une tache de sang qui s'agrandissait sur le bar et immédiatement un sentiment d'attirance profonde s'opéra en lui. Rien que l'odeur du sang suffisait à faire naître en lui un profond intérêt vis-à-vis du sang qui circulait à une grande vitesse dans le corps du vieux monsieur. Mais depuis plus de deux cent trente ans il a apprit à maîtriser cette recherche continuelle de sang et bien qu'il ne soit pas assez vieux pour ne pas être obligé de se nourrir, il peut tout à fait résister à la tentation quasi-immédiate de sauter sur la première odeur de sang qui vient. Après s'être rendu compte qu'il était resté une minute à observer fixement les moindres faits et gestes du barman, il lança un bref coup d'oeil à l'égard des autres personnes présentes dans le bar. Ce qui est naturellement étonnant est que certaines personnes se soient retrouvées endormies sur la table et n'ont même pas réagi que le bruit qu'ils entendaient était des coups de feu.

*Les ravages de l'alcool... quelle connerie* pensa-t-il au fond de lui-même ayant eu lui-même quelques petits problèmes à cause de ceci, bien que cela remonte tout de même à plus de deux cent trente années, alors qu'il était encore vivant et que le désespoir l'avait gagné. Les autres figurants se regardaient vraiment très noir, et Lestat se demandait même s'ils avaient un regard plus noir que le sien, ne pouvant lui-même l'affirmer car il n'a jamais vu son visage depuis qu'il est vampire. Bien qu'il soit de nature silencieuse, il avança jusqu'au bar sans se soucier de bousculer quiconque se trouvait sur son chemin. Et il en bouscula un qui voulut l'attaquer avec sa bouteille qu'il voulait lui écraser sur la tête mais sous l'emprise de l'alcool il croisa ses jambes et tomba sur le sol, ce qui fit se retourner Lestat. Il aperçut l'homme à terre avec la bouteille dans les mains. Il l'attrapa par le col et le souleva légèrement au-dessus du sol de la main gauche. L'homme aperçut un fond d'alcool encore présent dans la bouteille et mit le goulot à sa bouche quand Lestat utilisa sa main droite libre pour la briser par un coup de poing allant de droite à gauche. L'homme commençait à dire des paroles qu'il ne pensait pas car il les prononçait d'un air si menaçant que Lestat failli sourire car l'homme tremblait de tout son corps. Lestat le regarda droit dans les yeux et jugea qu'il n'était pas nécessaire de rosser un ivrogne à demi-conscient si ce n'est plus. D'un geste bref il le repoussa à deux mètres avant de dire :

"Dégage si tu ne veux pas que du mal te soit fait."

Et sûr que l'homme ne l'attaquerait pas avant d'être redevenu sobre, Lestat fit volte-face et reprit la direction du barman. Celui-ci avait observé la scène sans agir car après tout Lestat n'avait rien fait de mal. Plus il se rapprochait, plus l'odeur du sang emplissait ses narines et arrivé au niveau du bar, il appuya ses deux avant-bras pour se maintenir. Il lança alors quelques paroles à l'attention d'Henri :

"Tu ferais mieux de panser ta blessure car sinon tu seras confronté à l'un ou l'autre de ces dangers à savoir perdre trop de sang qui est source vitale d'énergie, ou attirer l'attention de quelques créatures que j'ai moi-même rencontrées qui ont pour habitude ainsi que plaisir à s'approvisionner en fluide vital humain. Je dis ça, c'est un conseil car les rues ne sont pas sûres et bien que les armes soient interdites, comme dans le cas présent, le service de maintien n'est pas très performant et cet incident le prouve.
J'ai aussi quelque chose à te demander. Je cherche des hommes pour ma sécurité personnelle. Des hommes qui n'ont pas peur de mourir ou de tuer car la pitié est un sentiment qui m'est devenu presque sans intérêt. Non je retire le mot "presque". J'ai aussi dit hommes mais cela peut également être des femmes et dans la mesure du possible qui aime s'habiller de noir comme moi on va dire. Alors aurais-tu des informations pour ce genre de personnes ? Cela m'aiderait beaucoup à vrai dire..."

Puis il dévisagea le vieil homme. Les rides marquaient tout de même une certaine méfiance vis-à-vis de Lestat mais cela Lestat s'en contre-fichait car ce qui l'intéressait était la réponse du barman et peu importe ce qu'il peut penser de lui.

hj Dsl pas de temps pour la photo... Je considère l'altercation comme fini et tous le PJ comme étant partit sauf bien sur Lestat...

Henri était beaucoup trop faible pour continué dans ces condition... Il se laissa donc tombé sur une chaise a l'écart et regarda sa plaie sans faire attention a ce que lui disait L'homme. Il se examinait la plaie avec attention quand s'approcha de lui et dit "je vais t'emmener a l'hopital..." et il sortirent par la porte de derrière.

Puis ce fut Grack qui s'approcha : "Je vous laisse vos armes... Mais si jamais vous entrez dans ce bar a nouveau vous les laisserez a l'entrée... Mon patron est indisposé et je vais le remplacé..." Grack était étonné : le vampire n'avait pas réagit a la présence de Lyckan dans le bar...
"Je pense en effet avoir un certain nombre de personne qui corresponde a votre consigne... en fait plusieur mais les contacté prendra un moment alors... Si vous voulez bien passienté le temps que je passe quelques appelle..."Grack se dirigea vers le combiné , le décracha composa un numéro et appella.

hj répond je te fournirait ce que tu voudra dans le prochain post...

Lestat ne manqua pas de remarquer l'ingratitude du vieux Henri qui n'avait même pas daigné s'excuser pour son départ aussi bref que l'arrivée de son hôte. Mais il est vrai que c'est un humain et vieux qui plus est et pour finir il est blessé donc il est tout à fait normal qu'il ne puisse presque pas s'exprimer correctement. *La misère de l'espèce humaine* pensa-t-il. Lestat tout près du comptoir ne s'assit pas car la faux étant toujours bien calée dans son dos, il serait étrange qu'un homme fasse attention à s'installer correctement sur un tabouret. Au pire, le frottement du métal pourrait en éveiller plus d'un. Lestat venait tout juste d'entendre les paroles de Grack et sa corpulence plus qu'imposante le fit penser à quelque chose mais qu'il jugea comme ridicule et totalement inutile. Lestat avait senti dans l'homme une sorte d'étonnement dont il n'arrivai à en déceler la cause exacte bien qu'il y en ait pu avoir un certain nombre. Mais il sentit quelque chose d'étrange dans cet homme qui venait d'aller décrocher le combiné. Il avait beau penser que ce ne fut possible, le lyckan possédait plusieurs odeurs de sang, chose bien étrange bien que Lestat puisse avoir la même caractéristique, se nourrissant lui-même de plusieurs personnes dont le sang n'avait jamais le même goût. Bien que l'odorat de Lestat ne soit pas aussi développé que celui de Grack, l'odeur du sang était un moyen de recherche qu'il avait appris à reconnaître grâce à sa nature. Puis en attendant que le lyckan ne revienne le voir, Lestat se retourna pour observer la pièce, les acteurs de la scène précédente étaient partis, et on apercevait certaines personnes à la sortie du bar qui guettait le moment propice pour soit entrer pour la première fois soit revenir dans le bar. Puis Lestat devint penseur :

*L'art de tuer serait né dans la souffrance de ceux qu'on a tué ? N'importe quoi, je tue comme je veux, quand je veux, où je veux et qui je veux. Tel est ma définition de tuer...* Puis il se rendit compte qu'il s'était perdu dans ses pensées et lorsqu'il se retourna, l'homme aux multiples odeurs de sang venait de terminer sa discussion. Sa réponse l'attendait donc derrière ce visage qui pouvait inspirer peur et terreur sur les pauvres humains, c'est d'ailleurs cette distinction qui éveilla la curiosité de Lestat. *Un homme avec un visage si terrifiant ne peut être humain. Je ne pense pas qu'il soit vampire, mais si c'est le cas il va falloir que je fasse attention. L'ex-habitant de la vile m'avait parlé de type de personnes ayant des particularités propres à eux-même, que cela signifiait-il ?*

Grack reposa lententement le combiné et se retourna vers Lestat... Puis lui fit son sourir "perso" :moitié sadique moitié ravi...

Puis il s'adressa a Lestat :" Les hommes que vous avez demandé son en route.... Ou vont l'être.... Il ne nous reste plus cas abordé la question du payement..."
Grack dévisagea son interlocuteur... Pas du genre commode a son avis... Peut être même un brin dérangé : même pour une sangsue.

"Je considerait que vous nous aurrez payé seulement si vous accepté un petit service..."

Lestat regarda Grack d'un regard noir mais pas provoquant, s'il commençait déjà à se faire remarquer et qui plus est dans un bar, les gens ne pairaient pas cher de sa peau. Cela dit il lui fallait maintenant payer pour un renseignement, et cela l'irritait fortement. Il ne mit pas de temps à le faire savoir :

"Depuis quand dois-je payer des renseignements ? Vous n'êtes vraiment que des arnaqueurs. Mais je ne peux pas payer, la milice de merde m'a déjà dépouillé de mon argent. D'ailleurs votre service qui me permetterait de vous payez, s'il ne me correspond pas il vous faudra trouver un autre homme. Sachez que je n'accepte qu'un genre précis de services. S'il y a du sang à la clé j'accepterait, mais s'il s'agit juste d'aller chercher quelqu'un ou quelque chose, alors je ne vous servirait à rien."

Il regardait si personne ne l'avait vu au préalable mais comme personne ne le regardait suite à ces propos, il replaça son regard directement dans les yeux de Grack.

[Hj] : Radin !


Grack dévisagea la sangsue... De toute évidance elle n'avait la moindre envie de payé en liquide... Ce qui était prévut.

Grack reprit la parole... : "Ne vous énervé donc pas ... Ce service est extrèmement simple. Un jour un homme viendrat vous voir et vous posera une unique question. Ellle ne portera pas sur vos activités en cours... Et vous devrez faire de votre mieux pour y répondre ... Cela vous convient - il ?"

Grack lui demandait de rencontrer un homme et de lui répondre convenablement mais Lestat avait déjà expliqué comment il "aidait" les autres. Il accepterait de parler à l'homme dans le seul cas où celui-ci lui demanderait d'assassiner une autre personne, homme, femme ou même enfant. Il répondit alors à Grack sur un ton légèrement plus fort que précédemment :

"J'ai dit qu'il fallait du sang, pas des paroles ! S'il n'y a pas de meurtre je n'accepterait pas ce service. Est-ce bien clair ?"

Puis on pouvait lire une pointe de colère dans le regard de Lestat bien que le reste de son visage n'indiquait rien d'autre.

... L'homme semblait n'avoir d'autre intéret que le sang... Interessant... Mais potentiellement dangereux... il fallait faire attention.

"Très bien... Puisque ce son la vos conditions nous les acceptons. Nous vous contacterons ultérieurement pour vous donnez votre cible. Pour le moment les hommes que vous avez demandé sont en route vers le lac... Ah oui tenez ."

Il tendit un téléphone cellulaire tous ce qu'il y avai de plus basique. Un cadeau de la maison...
"Ca peut être très utile si vous avez besoin de nous contacté...."
Il attendit la réponse de son interlocuteur.

Lestat allait donc avoir à tuer même si cela devait avoir lieu plus tard. Mais cela lui convenait. Il empocha alors le téléphone cellulaire, se leva toujours en fixant l'homme derrière le comptoir, avant de prendre le chemin de la sortie sans faire attention aux gens devant lui, dont un d'ailleurs avait un coup de trop dans l'aile, et tenta de le bousculer, ce qui eut une conséquence fâcheuse pour cet homme qui se prit un avant-bras dans la gorge et rencontra le mur de la sortie. Lestat marchait assurément et lorsqu'il arriva au niveau de la porte de la sortie, il attrapa l'homme et le traîna à l'extérieur. Personne ne pourrait lui en vouloir de tuer un homme à l'extérieur. Donc il le souleva d'une main au-dessus de lui avant de mettre un rapide et puissant coup de poing direct dans l'abdomen de l'homme qui se plia en deux net. Puis reposant l'homme à terre il lui attrapa la tête, avança en baissant son bras pour la lui écraser sur le sol. L'homme n'allait pas se relever tout de suite mais il n'en mourrait pas. Puis Il prit la direction du lac où l'homme l'attendrait.