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L'Ange Noir opine du chef et passa derrière.

"Merci Barry, je te laisse avec les...clients..."

Il sourit et referme derrière lui.

le vieille homme avait écouté l'histoire et les faits étaient étranges
" cette...dame s'est "chamillé " pour quelles raison ? "

**Pourquoi n'a t elle pas tout simplement tuer la personne qui l'a dérangé....Si elle s'est ouvert le ventre selon le rituel, cela implique un échec dans une mission et un honneur bafoué a jamais...**

" Vous avez dit qu'elle vous a menacer; qu'avez vous fait face à cette réaction ? "

L'affaire commencer à le déranger fortement; fréquenter ces gens l'insuppoter et à chaque pas fait vers la solution, de nouveau fait venait s'ajouter de façon à rendre l'histoire plus étrange .

Barry était sincère, bien que perturbé par l'évocation des évènements passés il y a peu en ces lieux, une "mauvaise publicité" comme l'avait dit la défunte, qui refaisait surface.MAis il fallait répondre, pour éviter des complications.

"Elle venait suite à l'attentat à son théatre, elle croyait que le responsable éait venu ici s'inspirer d'idéaux publiés sur le net, nous lui avons expliqué les lois en vigueur dans notre établissement sur la diffusion d'idées par internet que nous ne cautionnons nullement, sous peine de poursuites judicières. Mais elle s'est entétée, comme... Obsédée,je ne sais pas moi, elle était partie trop loin dans son idée de nous avoir comme tête de turc. On a voulu appeller la police lorsqu'elle nous a menacé de son éspèce de couteau, et quand on a appellé, elle s'est tuée. Mais je peux vous assurer -et l'autopsie effectuée par la police aussi-qu'il n'y a pas eu de lutte, on a gardé notre sang froid, que vouliez-vous qu'on fasse?"

Il insista sur cette dernière question en ouvrant de grands yeux face aux trois hommes puis il soupira.

"Je vous ai tout dit, mais par pitié, laissez nous tranquilles, on a bien assez eu de soucis comme ça, la clientèle a été assez choquée comme ça, des habitués n'ont plus osé venir, et les interrogatoires des flics ont été assez lourds comme ça..."

Shintaro croisa les bras, perplexe. L'histoire du fils d'Anastasia et du gérant présentait une fin radicalement différente, ce qui impliquait qu'au moins l'un des deux mentait, ils ne leur restaient plus qu'à aller fouiller du côté du commissariat voir si la police confirmaient l'une des deux versions. Il soupira puis s'adressa de nouveau au gérant.

Juste une dernière question, quels étaient ces idéaux dont vous venez de nous parler?

L'homme en noir s'avança dans le cyber café, prenant bien soin de faire claquer sa canne contre le sol, qu'il jugea indigne d'être nommé comme tel.

"Bonjour ... mesdames ... messieurs ..."

Il s'avança vers le groupe, puis dit alors :

"Je cherche un certain ... Shintaro ... Pouvez vous me dire si j'ai la chance de pouvoir le trouver ici ?"

Une dame s'avança vers lui, l'implorant de bien vouloir toucher son front.

"Madame, je n'ai de temps à perdre, mais si cela peut vous redonner votre fieré de trisaïeule, alors soit !"

Il toucha le front incliné.

Shintaro hocha imperceptiblement la tête avant de faire face à l'homme qui venait d'entrer, l'évaluant brièvement du regard. Il était quasiment certain de ne l'avoir jamais vu et pourtant cet homme lui inspirait confiance, comme s'il était lié à lui par un lien qu'il ne parvint à définir.

Vous l'avez devant vous, à qui ais-je l'honneur?

"Je suis quelqu'un qui attend beaucoup de vous, maintenant, messieurs les gérants de ce ... de cet établissement ... Je vous arrache ce client, lui et moi avons des affaires urgentes à règler ..."

*Et je n'ai guère envie de laver mon auguste linge devant de tels cloportes.*

Il se tourna vers la porte qui donnait sur la rue.

"Monseigneur Shintaro me conduira - t -il jusqu'à chez lui ?"

Shintaro s'avança vers la sortie, dépassant l'homme, en répondant simplement:

Une voiture nous attend dehors.

Il franchit la porte et s'adressa aux deux Reds qui l'accompagnait une fois à l'exterieur.

Je veux que vous alliez au comissariat et que vous questionnez discretement les policiers, pour voir s'ils corroborent l'un des deux scénario de la mort d'Anastasia. Je vous laisse le choix d'y aller à pied ou de rentrer au manoir avec nous pour y prendre une de nos voitures...

Après un bref regard à la ronde, l'homme sortit et alla directement se placer dans la voiture.

Il dit cependant avant de monter à l'adresse de Shintaro.

"Quand je disais que j'attendez beaucoup de vous, je tiens à le souligner, c'est la stricte vérité. Il va falloir que nous discutions sérieusement de ce ... de cette ville. Et croyez moi, c'est très urgent."

Il attendit ensuite.

Zaïtochi se tourna vers Lance et lui demanda
" jeune homme, que voulez vous prendre comme voie ? "

**J'espère qu'il va chosir la voiture, j'ai mal aux jambes, je dois bien l'admettre **

" Personellement je n'ai aucune préfèrence "

Depuis l'arrivé du nouveau personnage dans l'endroit, il ne voulait plus que les désavantages liées à son age soient trop visibles .

[HJ: Je suis là, enfin... ]

Lance baissa le regard un instant, puis jeta un oeil à Shintaro et Zaïtochi. Le gérant semblait dire vrai, mais il devait tout de même vérifier. Il se retourna vers l'homme étrange qui venait d'entrer, méfiant. Il préféra garder le silence et vit qu'il voulait parler... affaires.

Il aquièsca a l'ordre de Shintaro, puis se retourna vers Zaïtochi.

"Hum, je préfère marcher, laissons les tranquille... Je crois que le comissariat c'est par là, non?" dit-il en oubliant un instant que son collègue était aveugle.

L'homme maugréa et descendit de la voiture. Son charisme au maximum, des gens commençaient à se mirer avec extase dans les fenêtres des vitrines.

Il s'adressa aux trois Reds.
"Je ne crois pas que vous avez tout saisi. Quand je dis que j'attends énormément de vous, c'est que j'en attends beaucoup. Et cela ne peut attendre. Alors oubliez un instant votre affaire. Venez avec moi jusqu'à la demeure de Shintaro, et soyez prêt à entendre ce que j'ai à dire."

Il dit à l'adresse de Lance :

"Et si vous êtes vraiment un Reds, un des notres, vous devez savoir que je dis la vérité, et que vous n'avez rien à craindre."

Bon, s'il faut que nous soyons tous les rois présents nous allons laisser quelques temps cette affaire en suspend...

Il ouvrit la porte passager avant de la voiture et s'installa avant de s'adresser au chauffeur.

Nous rentrons.

Lance se retourna vers l'homme d'un air neutre puis le toisa calmement, il jeta un oeil à Shintaro puis aquièsca docilement et s'avanca vers la voiture. Il laissa l'homme s'asseoir en premier, et Lance entra et se placa au milieu de la banquette... Si ils avaient sû qu'il y allait avoir des invités, il n'aurait pas pris cette berline étroite.

Lance attendit que Zaïtochi vienne s'asseoir, puis une fois que tout le monde fut à l'intérieur, le chauffeur démarra et roula vers le manoir...

[HJ : Direction Manoir, Shintaro on te laisse poster en premier ]